Et le Diable sourit

Malheurs
Pleurs
Outrages
Carnages
Guerres
Misères
Trahisons
Démons

Simples mots, terribles maux
Mots se gorgeant de chaos
Qui font froid dans le dos
Qui, malheureusement, seront de chaque humain un jour le lot
Et le diable sourira encore !!!!

© M. De Rodrigue

 

 

Lire un extrait...

La nuit est de cristal.
Le loup a mal.

Dans son cœur passent des éclairs.
Au loin, sous la pleine lune, hurlent ses compères.
Ils l’appellent pour qu’il se joigne à eux.
Mais le solitaire aspire au silence ; il est malheureux.

Alors, désertant l’immense forêt,
Comme un fou, il divague par monts et vallées.
Gémit, en maudit satané, qu’il est.
En exècrant sa funeste destinée,
Court par les sentiers à perdre haleine
Espérant ainsi pouvoir étouffer sa peine.

Il pleure. Il sait, que dans un élan de rage,
Ses crocs, à la ronde, feraient un carnage.
Déchiquéteraient l’homme et sa femme.
Ces êtres de violence qui le damnent,
Qui le pourchassent inlassablement,
Le blessent toujours mortellement.
Et ainsi, sans répit, depuis la nuit des temps
À cause d’un chaperon ou de la bête du Gévaudan.

Près de l’Étang du diable, l’aube le surprend
Couché sur un lit de violettes, tristement.
À son chevet, un bel ange de son chant mélodieux
Berce, essaie d’apaiser le malheureux.

Le loup s’est endormi.
Dans la grande prairie où le ciel n’est jamais gris,
Dans le paradis où jamais un loup n’est honni,
Le cœur meurtri, il s’en est allé sans bruit.

Où trouver le livre ?

Les avis des lecteurs

Je viens à l’instant de refermer le livre, les yeux encore embués de larmes.
Quels merveilleux textes poètiques aux vers si subtils, aux vérités si douloureuses !
OmbreL nous raconte des histoires, des histoires vécues, avec une sensibilité à fleur de mots.
Le lecteur entre dans son univers et en ressort totalement bouleversé, c’est le moins qu’on puisse dire !
J’ai aimé tout particulièrement la nuit du loup, la belle et la bête, 2 textes qui dénoncent avec brio la méchanceté des hommes envers les animaux.
Le G I, le beret vert montrent l’absurdité cruelle des guerres.
Et aussi les inséparables, l’arroseur et sourire d’outre tombe ont éveillé en moi une insoutenable émotion.
Enfin, vous l’aurez compris, j’ai vraiment aimé l’intégralité de ce recueil !!!
Mais malgré les déboires de la vie, le livre se termine sur une note d’espoir, l’esprit magique de Noël.
Une plume unique notre Ombre L !
Une plume à fleur de peau, au bord des larmes ;
une plume empreinte d’un romantisme inouï si rare de nos jours !
La sensibilité et l’émotion à l’état pur… Un magnifique moment onirique.
Chapeau bas, grande dame, je m’incline humblement…
1000 bisous à ma belle voisine camarguaise

Corine (trés amplement séduite et émue)

Corine M, le 01/08/2009

Je vous retrouve enfin après un long silence et constater que vos poèmes sont édités me remplit de bonheur.
Je vais pouvoir dès lors être près de vous et je resterai dans l’éclat de votre ombre si douce.

Un admirateur de toujours.

Laurent, le 26/07/2009

Tes textes sont vraiment superbe.
On sent bien une profonde blessure et tu la décris avec brio !
Je suis toujours enchantée de te lire…
Ta façon d’écrire tire parfois quelques larmes… oui, c’est émouvant !

Bisous elfiques

Bernadette "Elfebrune" (auteure), le 08/07/2009

Qui pourrait rester indiffférent devant ces textes écrits magnifiquement avec le coeur et souvent un coeur blessé. On ne peut pas être sourd au point de ne pas entendre le grondement qui est en vous ,cette colère cachée par des mots, mais que vous faites exploser aux visages des responsables de ces drames,et pas seulement à eux ,aux lecteurs de ces tristes histoires aussi,évitant ainsi qu’elles ne tombent dans l’oubli. On ne peut que vous louer d’avoir dénoncé avec autant d’énergie, la haine, la cruauté, le racisme,la drogue,la misère.

Ravivant ainsi de belle manière des événements terrifiants qui n’empêchent pas les diables de sourire.

Nos pleurs parviendront-ils à éteindre les flammes de l’enfer,peut être avec l’aide d’ âmes généreuses ,sensibles comme la vôtre. Vous avez dit tout cela avec tellement de ferveur et les mots qu’il fallait ,mots qui accusent certes mais qui génèrent l’espoir.

Bravo de l’avoir dit dans un style pas ordinaire, vous avez mon admiration et toute ma sympathie.

RIBOT Raoul (écrivain et artiste peintre), le 07/07/2009

Quelle bête abominable ce diable décrit avec talent. Félicitations.

Maguelone, le 06/07/2009

Je suis perplexe… D’où vient cette cicatrice à la lancinante douleur qui vous submerge avec autant d’authenticité ? Du vécu ? Sans aucun doute. Cruel donc, ce monde qui vous, qui nous entoure, nous encercle, nous enserre, nous étouffe jusqu’aux sanglots. Le titre résume tout, pourtant il faut continuer à croire, en l’espérance, en l’amour qui reste le beau des romans jamais écrit.

Jean-Marc, le 18/06/2009

Je referme délicatement votre livre qui trônera auprès de mon lit, comme un livre de chevet…
Je n’ai pleuré que deux fois en 20 ans de lecture. Mes toutes premières larmes furent versées sur « L’écume des jours » de Boris Vian. Les secondes ont inondé le brasier de ce diable qui encore et toujours me sourit…
Le mots me manquent car l’émotion me gagne à nouveau en songeant à ce « petit pompier », à « sébastien », à « Corsica », et bien-sûr à vous, à ces douleurs noyées au fond des marais….
Et pourtant, malgré la souffrance, vous trouvez la force de nous offrir -de m’offrir- un formidable message d’espoir!

Merci infiniment pour ces instants de lecture qui ne contenteront pas le diable,
car j’ai pris un plaisir divin à vous lire.

Amicalement et avec tout mon respect,

Armelle

Armelle Carbonel (romancière), le 14/05/2009

Un livre qui m’a tenu en haleine du début jusqu’à la fin.
Et le diable sourit murmure douloureusement bien, quel talent.
j’ai été touché et bouleversé par tous ces maux couchés là.

Bien à toi

amicalement

Plume (auteure), le 23/04/2009

un livre de feu et de foudre
je suis resté suspendu à mes émotions
livre à lire et relire car le diable sourit.

Georgio, le 15/04/2009

Enfin tu as trouvé ton titre à moi de te lire. jamais 2 sans 3.
quel chemin parcouru !
ravi d’avoir croisé le chemin de cette timide fée apprivoisé au fil du temps..
plein de bonne chose mon amie

Yvan, un chevalier qui ne t’oublie pas.

Un certain chevalier, le 07/03/2009

Diable, diable, ce texte ne laisse pas indifférent.
Bravo pour ce sourire diabolique.

Bises Edmonde.

Edmonde Permingeat, le 28/02/2009

Ton àme a son secret
Ta vie son mystére
dans le silence des mots pour traverser le miroir de la vie comme orphée aux enfers
je prends le risque de t’aimer pour une part d éternité …

Georgio, le 25/02/2009

Je valide mon panier mercredi, plus un délai d’environ onze jours…
le diable ne me sourira pas avant deux semaines, mais votre talent mérite de se faire désirer!!!

Armelle Carbonel, le 22/02/2009

Ma chère Marine, votre personnalité me plaît, comme l’indique votre pseudo Rodigue,
inutile de vous demander si vous avez du cœur.
j’ai hâte de découvrir le sourire diabolique !!

Bises Edmonde

synovie, le 03/02/2009

Ma chère amie marine
Je suis ebloui, tu a pu enfin éditer tes sublimes mots; stp ne t’arrete pas en si bon chemin.
Le mal que je te souhaite, c’est de continuer à créer et batir encore tes mots.

l’admirateur de tes écrits Yarris

yarris, le 29/01/2009

Félicitations, j’ai beaucoup à apprendre par tes belles expressions,
et tu mérites d’être connue et je veux faire partager tes livres,
et te faire connaître en Haute-Savoie.
Continue à nous faire rêver !!!

JAYNE, le 13/01/2009

Cette présentation me touche beaucoup, me « parle…
Voilà, je voulais juste dire cela en passant…
J’irai sans doute faire un tour chez le diable, il a de quoi sourire en effet!

Anne H, le 13/01/2009

Bravo pour tes belles réalisations bravo pour tes belles paroles…
merci pour ce que tu es et pour tout ce que tu fais…
Nos Meilleures Pensées d’ Algérie

Famille Halfaoui

Amine, le 13/01/2009

il faut étre attentif aux cheminements du bonheur
merci à toi, à tes mots d’ amour

Ton jumeau, le 14/12/2008

Ma fée tu as un talent immense qui mérite d’être connu ! J’achète !!! Bizoux tout plein bella ^^

Llauralen, le 12/12/2008

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